e-Essayer avant d’acheter : l’efficacité des outils d’aide à la vente en ligne


Cet article est publié dans le cadre de la vitrine inaugurale de la Revue française de gestion, « Innovation et numérique : quelles implications managériales ? » qui s’est tenue le 27 septembre 2017 au château de Wiltz (Luxembourg). En partenariat avec le Luxembourg Institute of Science and Technology, et The Conversation France, cet événement a été organisé à l’occasion de la diplomation de DBA (Doctorate in Business Administration) du Business Science Institute, dont les jurys regroupaient une trentaine de professeurs de sciences du management pour 17 soutenances de thèses de DBA de doctorants-managers.

Et si en attendant votre bus ou votre métro un panneau d’affichage vous proposait des produits de maquillage assortis à la tenue que vous portez sur vous ? Et si vous pouviez acheter en quelques secondes ces produits à l’aide d’un distributeur automatique situé sur le quai ? Telle est l’offre de service de l’« Intelligence Color Experience » proposée en 2013 dans le métro new-yorkais. Ces techniques de test virtuel de produits ont-elles un avenir, vont-elles remplacer les échantillons ou sont-elles un feu de paille ?

Ce qui nous apparaît peut-être encore comme une fiction est déjà rentré dans les pratiques des entreprises aujourd’hui. Pourtant, sommes-nous disposés à ne plus entrer en contact physique avec les produits que nous ne connaissons pas avant de les acheter ?

Essayer avant d’acheter une nécessité ?

La possibilité de tester un produit est depuis longtemps identifiée comme un moyen de rassurer les clients sur la qualité ou le rendu en situation de ce qu’ils vont acheter. Ainsi, pour les produits dont la consommation est engageante pour les consommateurs (produits chers ou produits consommés dans un contexte ou par une personne importante) les industriels dédient des sommes très importantes au test des produits.

Si cette pratique est naturelle sur un marché où l’on peut aisément goûter les fruits et légumes que l’on convoite, elle est plus complexe dans la distribution en libre-service où les produits sont protégés par un emballage.

> Lire la suite sur TheConversation.com

Laisser un commentaire